VI - L’ALLEMAGNE
4. ARTISTES, MUSICIENS, POÈTES ET SAVANTS
1935 | Der Gefangene des Königs / Goldfieber (DE) de Carl Boese ; Bavaria, 107 min. – av. Paul Kemp (Johann Friedrich Böttger), Michael Bohnen (Auguste le Fort), Susi Lanner (Sophie von Archenholtz), Adele Sandrock, Josef Eichheim, Max Weydner (Laskaris, le faiseur d’or). – Biographie du chimiste Johann Friedrich Böttger (1682-1719), surnommé « le prisonnier du roi » de Saxe et l’inventeur de la porcelaine blanche dite « de Meissen ». A défaut de découvrir le secret de la pierre philosophale, comme l’exige le roi, il parvient à découvrir celui de la mystérieuse porcelaine chinoise. |
1941 | *Komödianten / Philine (Les Comédiens / BE : Reine du théâtre) (DE) de Georg Wilhelm Pabst ; Hans Schweikart/Bavaria Film GmbH (München), 112 min. – av. Käthe Dorsch (Friederike Caroline Neuber), Hilde Krahl (Philine Schröder), Henny Porten (Amalia, duchesse de Weissenfels), Gustav Diessl (Ernst Biron, duc de Kurland), Richard Häussler (Arnim von Perckhammer), Curt Müller-Graf (Gotthold Ephraim Lessing, 1729-1781), Harry Langewisch (prof. Johann Christoph Gottsched, 1700-1766), Viktor Afritsch (le comte Paul de Weissenfels). – A Leipzig vers 1750, la célèbre comédienne Friederike Caroline Neuber (1697-1760), surnommée « la Neuberin », et sa troupe imposent le théâtre classique sur les tréteaux allemands, un théâtre qui s’adresse en priorité à la bourgeoisie (et non à la cour, comme en France). Philine s’enfuit de la maison de son tuteur et devient une actrice célèbre, tandis que le jeune Lessing traduit des pièces françaises (Marivaux) et rédige le premier drame du théâtre allemand, « Emilia Galotti ». La troupe part en tournée à Saint-Pétersbourg, mais la malchance les poursuit et la représentation est un four. A son retour à Leipzig, ruinée, Friederike Neuber s’enfuit seule dans la nuit et périt dans la misère à Laubegast, près de Dresde. Mais ses idées perdurent. Sa disciple Philine reprend le théâtre, Perckhammer devient metteur en scène, est la première pièce au programme est « Emilia Galotti », un succès immense. – Une biographie « nationale » sans grand profil, qui prend passablement de libertés avec l’histoire (à la fin de sa vie, la Neuberin a fui Dresde en raison des bombardements de la Guerre de Sept Ans). Goebbels tient à souligner avec ce film l’importance que le parti place dans les arts et la représentation scénique et cinématographique en particulier, « ces valeurs culturelles que nos soldats défendent au front » ; accessoirement, le film évoque la misère et l’insécurité des comédiens à une époque révolue où l’État les méprisait. Le film sort du lot d’une part parce qu’il célèbre une femme (fait peu courant dans le cinéma nazi), et d’autre part parce que sa réalisation en a été confiée au grand G. W. Pabst (forcé de retourner dans le Reich pour des raisons familiales), auquel Goebbels a pardonné ( !) l’« Opéra de quat’ sous » qu’il haïssait. Tournage en octobre-novembre 1940 aux studios Bavaria à Geiselgasteig (Munich) et Ufastadt à Berlin-Babelsberg. Décrété « de grande valeur politique, artistique et culturelle, de valeur éducative pour le peuple » (« staatspolitisch und künstlerisch besonders wertvoll, kulturell wertvoll, volksbildend ». Pabst reçoit la Médaille d’or pour la meilleure réalisation à la Biennale de Venise 1941. |
1942 | Andreas Schlüter – Der Baumeister des Königs / Der Münzturm (DE) de Herbert Maisch ; Viktor von Struve/Terra-Filmkunst GmbH, 111 min. – av. Heinrich George (l’architecte Andreas Schlüter, 1662-1715), Mila Kopp (Elisabeth Schlüter, son épouse), Marianne Simson (Leonore, leur fille), Olga Tschechowa, Theodor Loos (le Prince-Électeur Friedrich III de Brandebourg-Prusse, futur roi Friedrich I de Prusse), Dorothea Wieck (son épouse), Emil Hess (Eberhard Freiherr von Danckelmann), Herbert Hübner (Johann Kasimir Reichsgraf Kolbe von Wartenberg, 1643-1712), Ernst Fritz Fürbringer (Johann Friedrich Freiherr von Eosander, architecte, 1670-1729), Robert Taube (Gottfried Wilhelm Leibniz, philosophe, 1646-1716). – Berlin de 1700 à 1710, l’architecte et sculpteur Schlüter, surnommé « le Michelange de la Prusse », œuvre au service du roi de Prusse et de la gloire future du Reich en transformant le château de Berlin et en érigeant le Münzturm, destiné à devenir la tour la plus haute d’Europe. Mais l’édifice s’effondre, Schlüter est incarcéré, puis grâcié par le roi après l’intercession de son épouse Elisabeth, qu’il avait répudiée. Il se sera auparavant aussi heurté à l’inimitié de l’intrigant architecte de la cour, le baron Eosander, qui veut imposer à Berlin le style français. Le film conjugue gigantisme et glorification des vertus allemandes ; son nouveau Berlin, inspiré par la Rome antique, devrait faire oublier les splendeurs de Paris : Schlüter est présenté ici comme le précurseur d’Arno Breker et d’Alfred Speer. Tournage aux studios d’Ufastadt et aux Althoff-Ateliers à Babelsberg, en extérieurs au Château municipal (Stadtschloss). Première mondiale à la Biennale de Venise 1942. Pompeux et bavard. Décrété « de grande valeur politique, artistique et éducative pour la jeunesse » (« staatspolitisch und künstlerisch besonders wertvoll, jugendwert »). |
Un sculpteur au service du roi de Prusse : « Andreas Schlüter » de Herbert Maisch (1942).
1949 | Die blauen Schwerter (DE-RDA) de Wolfgang Schleif ; DEFA, 99 min. – av. Hans Quest (Johann Friedrich Böttger), Ilse Steppat (Frau von Tschirnhausen), Alexander Engel, Willy A. Kleinau (Auguste le Fort de Saxe), Paul Wagner (Frédéric Ier de Prusse), Marianne Prenzel (Catherine II de Russie). – L’inventeur de la porcelaine de Meissen, en 1709 en Prusse et en Saxe. |
1970 | (tv) I Measured the Skies (GB) de John Glenister (BBC 4.11.70), 75 min. – av. Tony Calvin (Johannes Kepler), Richard Vernon (Tycho de Brahe), Terence Conoley (le duc de Wallenstein), Leslie Schofield (Willi), Jack Connell (Hans), Anne Pichon (Katherine), Michael Sheard (Spangenberg), Emrys Leyshon (Longomontanus). – L’astronome Johannes Kepler (1571-1630) découvre le mouvement des planètes, d’après un texte d’Arthur Koestler. |
1971 | Lenz – Zeit der Unterdrückung, Zeit der Befreiung (DE) de George Moorse ; Literarisches Colloquium, 130 min. – av. Michael König (Jakob Michael Reinhold Lenz), Louis Waldon (pasteur Oberlin), Sigurd Bischof, Klaus Lea, Pristin Peterson. – Le poète préromantique Jakob Lenz (1751-1782) s’insurge vainement en 1778 contre les puissants (d’après un texte de Georg Büchner, 1839). |
1982 | (tv) Johann Friedrich Böttger – in contubernio (DE-RDA) de Claus-Peter Eberwein (DDR1 3.2.82), 44 min. – av. Ulrich Schwarz (Johann Friedrich Böttger), Michael Heuser. – L’invention de la porcelaine de Meissen. |
1992 | (tv) Lenz (DE) d’Egon Günther. – av. Jörg Schüttauf (le poète Jakob Michael Reinhold Lenz), Christian Kuchenbuch (Goethe), Hans Otto Reintsch (Johann Schlosser), Susanne Simon (Friederike Brion), Götz Schubert (Johann Gottfried von Herder). |
1993 | (tv) Les Derniers Jours d’Emmanuel Kant (FR) de Philippe Collin ; Archipel 33-P. Grise-La Sept-INA (Arte 24.4.93), 70 min. – av. David Warrilow (Emmanuel Kant, 1724-1804), André Wilms (Wasianski), Roland Amstutz, Christian Rist. – Königsberg en 1804, le philosophe sent ses forces l’abandonner. |
1999 | (tv) El secreto de la porcelana / Das Geheimnis des Porzellans (ES) de Roberto Bodegas ; 5 Films-RTVE, (TVE 29.12.99), 2 x 90 min. – av. Teófilo Calle (Johann Friedrich Böttger), Vicente Genovés (Auguste le Fort, de Saxe), Alvaro Báguena (Friedrich August II de Saxe), Nacho Duato (comte de Aranda), Miguel Angel Garcia, Eusebio Poncela (Carlos III d’Espagne), Omero Antonutti, Pauline Galvez, Magui Mira. – Le Saxon Johann Christian Knippfer, qui possède le secret de la fabrication de la pâte dure pour la porcelaine, fait l’objet d’espionnage économique. Le comte d’Aranda cherche à l’engager en Espagne. Cf. Espagne (6). |
2006 | (tv) Hahnemanns Medizin. Vom Wesen der Homöopathie (Hahnemann, le père de l’homéopathie) (DE) d’Elfi Mikesch ; Medea Films-ZDF (Arte 7.7.06), 71 min. – av. Andreas Jung (Samuel Hahnemann, 1755-1843), Michael Hahnemann (Friedrich Klockenbring), Geno Lechner (Melanie d’Hervilly), Irene Hofer (Henriette Hahnemann), Marion Noah, Tara Hofer. – Docu-fiction. |
2006 | (tv) Böttger und das Meissner Porzellan (DE) de Hans-Michael Marten ; série « Geschichte Mitteldeutschlands », saison 8, épisode 2, Ottonia Media GmbH (MDR 5.11.06), 45 min. – av. Stephane Lalloz (Johann Friedrich Böttger), Michael Heuel (Auguste le Fort), Thorsten Giese (Ehrenfried Walther von Tschirnhaus). - Docu-fiction sur l’invention de la porcelaine de Meissen par Johann Friedrich Böttger en 1707 (sous Auguste le Fort), avec reconstitutions et comédiens anonymes. |
4.1. Johann Sebastian Bach et ses fils
(Jean-Sébastien Bach, 1685-1750), organiste et compositeur, virtuose du violon, de l'alto, du clavecin et de l'orgue. À la croisée des principales traditions musicales européennes (allemandes, françaises et italiennes), il en opéra une synthèse très novatrice pour son temps, mais ne put jamais obtenir un emploi à la mesure de son génie et de son importance, malgré la considération de Frédéric le Grand. Il eut vingt enfants, dont quatre devinrent compositeurs à leur tour, Wilhelm Friedemann (1719-1784), Carl Philipp Emmanuel (1714-1788), Johann Christoph Friedrich (1732-1795) et Johann Christian (1735-1782), se lançant tous avec un bonheur inégal sur la voie du courant pré-classique qui prend alors le pas sur le baroque.
Friedemann Bach (Gustaf Gründgens), le fils malheureux de J. S. Bach (« Friedemann Bach », 1941).
1932 | ® Die Tänzerin von Sanssouci (DR) de Friedrich Zelnik. – av. Philipp Manning (Johann Sebastian Bach), cf. (8). |
1941 | *Friedemann Bach (Le Musicien errant / Le Fils de Bach) (DE) de Traugott Müller (supervision : Gustaf Gründgens) Terra-Filmkunst, 102 min. – av. Gustaf Gründgens (Wilhelm Friedemann Bach), Eugen Klöpfer (Johann Sebastian Bach), Wolfgang Liebeneiner (Carl Philipp Emmanuel Bach), Leni Marenbach (comtesse Antonia Kollowrat), Johannes Riemann (comte Heinrich von Brühl), Lina Lossen (Anna Magdalena Bach), Lotte Koch (Friederike Bach), Ernst Dernburg (Frédéric Auguste II, Prince-Électeur de Saxe et roi de Pologne), Lieselott Schaak (la reine Maria Josepha). La vie tragique de Friedemann (1710-1763), le fils le plus doué et le préféré de J. S. Bach, orgueilleux, naïf, intransigeant quant à son art, mais écrasé par l’image du père. D’abord encensé à la cour royale de Saxe, où l’a introduit le comte von Brühl (1700-1763), il est la victime d’une intrigue, tombe sous l’emprise d’une danseuse qui le pousse à créer, ô horreur, un ballet. Rejeté par ses anciens adulateurs, sauf par Antonia Kolowrat, il peine à faire reconnaître sa propre musique, fort éloignée des sonates paternelles. Honteux de ses échecs répétés à trouver du travail comme compositeur-organiste, il rompt avec sa famille, se cache et finit sa vie dans la misère en compagnie de comédiens ambulants. Le culte du « génie allemand » (regards extatiques, trémolos) selon les schémas romantiques de l’artiste incompris. Filmé aux studios d’Ufastadt à Babelsberg. |
1954 | (tv) The Story of Johann Sebastian Bach (US) « The Hallmark Hall of Fame » no. 124 (NBC 3.10.54). |
1961 | (tv) Johan Sebastian Bach (GB) de Philip Wrestler Cross Channel, 28 min. – av. Karel Stepanek (Johann Sebastian Bach), Geoffrey Hibbert (Frédéric le Grand), Wallas Eaton. |
1967 | (tv) Elle s’appelait Anna Magdalena (FR) d’Yves-André Hubert (TF1 25.12.67). – av. Tania Torrens (Anna Magdalena Bach), Henri Six (Johann Sebastian Bach), Brigitte Parmentier, Thibaut, D. de Feuchel. |
1968 | *Chronik der Anna Magdalena Bach (La Chronique d’Anna Magdalena Bach) (DE/IT) de Jean-Marie Straub Franz Seitz Produktion-Kuratorium Junger Deutscher Film-Hessischer Rundfunk (tv : HR3 27.9.69), 94 min. – av. Gustav Leonhardt (Johann Sebastian Bach), Christiane Lang-Drewanz (Anna Magdalena Bach), Andreas Pangritz (Wilhelm Friedemann Bach), Kathrien Leonhard (Catherina Dorothea Bach), Anja Fahrmann (Regine Susanne Bach), Katja Drwanz (Christine Sophie Henriette Bach), Bob van Asperen (Johann Elias Bach), Nikolaus Harmoncourt (prince d’Anhalt-Cöthen), Hellmuth Costard (Ernesti). Quelques mois après la mort de sa première femme en 1720, Bach épouse la chanteuse Anna Magdalena Wülken (ou Wilcke, 1701-1760), qui évoque en flash-back les trente années passées au côté de son époux et les menus faits qui ont ponctué l’existence du couple, jusqu’à la mort du compositeur. A l’intérieur de cette chronique s’intercalent de longs moments d’exécution musicale (à l’église, chez des mécènes ou à la maison) qui viennent interrompre la narration. Les musiciens et chanteurs sont filmés à l’œuvre, comme un document d’époque : le cinéaste tente un film « dans lequel on utiliserait la musique ni comme accompagnement ni non plus comme commentaire, mais comme une matière esthétique » (J.-M. Straub). Un style dépouillé à l’extrême, un ton monotone, une illustration (en noir et blanc) d’une sécheresse parfois rébarbative, mais une œuvre qui sort indéniablement du lot. Tournage en Saxe (Freyburg, Leipzig, Stade, Lüneburg), dans le Schleswig-Holstein (Lübeck, Eutin, Preetz), à Nuremberg et à Hambourg. En compétition au festival de Berlin 1968, lauréat du Sutherland Trophy du British Film Institute 1968. |
1972 | (tv) Bach in Arnstadt (DE-RDA) de Uwe-Detlev Jessen Deutscher Fernsehfunk der DDR (Ost-Berlin) (DFF 25.12.72). - av. Wolfgang Hosfeld (Johann Sebastian Bach), Blanche Kommerell (Maria Barbara), Ruth Kommerell (Muhme), Herwart Grosse (l'intendant), Heinz Hinze (le pasteur), Walter Lendrich (le bourgmestre), Ernst Kahler (Dietrich Buxtehude). Âgé de 18 ans, Bach est nommé organiste à Arnstadt où il se heurte aux autorités choqués par sa musique. |
1979/80 | (tv) Johann Sebastian Bachs vergebliche Reise in den Ruhm (DE/DE-RDA) de Victor Vicas DEFA-Allianz-ZDF (DFF1 25.4.80), 105 min. – av. Alexander May (Johann Sebastian Bach), Renate Richter (Anna Magdalena Bach), Peter Reusse (Friedemann Bach), Henry Hübchen (Carl Philipp Emanuel Bach), Regina Beyer (Johanna Maria Bach), Adrian Kozik (Johann Christoph Stoffel), Jürgen Holtz (Frédéric le Grand). En mai 1747, âgé et endetté, Bach voyage de Leipzig à Potsdam, au nouveau palais de Sanssouci, pour jouer devant Frédéric le Grand, dans le vain espoir de décrocher des commandes. Il est accompagné de son fils Friedemann. La rencontre ne porte pas de fruits, les deux protagonistes sont trop différents : d’un côté l’artiste bourgeois, profondément religieux et en fin de carrière, et de l’autre l’homme de pouvoir auréolé de victoires, cynique et agnostique. |
1982 | ® (tv) Mozart (FR) de Marcel Bluwal. – av. Gerd Böckmann (Johann Christian Bach), cf Autriche (6.1). |
1985 | (tv) The Cantor of St. Thomas’s (GB) de Colin Nears (BBC Two 7.4.85). – av. Brian Cox (Johann Sebastian Bach), Simon Mulligan (Friedemann Bach à 10 ans), Andrew Rankin (Friedemann Bach à 16 ans), Nicholas Hopkins (J. S. Bach à 10 ans), Polly Hemingway (Anna Magdalena Bach), Michael Gough (bourgmestre Lange), Patrick Newell (bourgmestre Born), Timothy Bateson (Stieglitz), John Ringham (Holzel), John Moore (Platz), Allan McClelland (Steger), Alan Bowerman (Winckler), Paul Beech (Richter), Steve Morley (Geyersbach), Simone Francis (Maria Barbara), John Quarmby (secrétaire de la Cour à Leipzig). - Pour les 300 ans de Bach. |
1985 | (tv) Szenen aus dem Leben des Johann Sebastian Bach (DE) de Hellmut Kühn, Ferry Radax (SFB/N3 21.11.85), 60 min. – av. Peter Aust (Johann Sebastian Bach), Ewa Teilmans (Anna Magdalena Bach), Ludwig Kuschke (Carl Philipp Emmanuel Bach). |
1985 | (tv) Johann Sebastian Bach (DE-RDA/HU) de Lothar Bellag Deutscher Fernsehfunk der DDR (Ost-Berlin)-Magyar Televízió Zrt. (MRT) Budapest (DFF1 8.-17.3.85), 4 x 85 min. – av. Ulrich Thein (Johann Sebatian Bach), Angelika Wallter (Maria Barbara), Jaroslav Satoransky (Marchand), Hans Jörn Weber (Frédéric II), Franziska Troegner, András Kozák, Hans-Peter Minetti, Dorottya Udvaros (Elisabeth Bach). |
1995 | (tv) Bach’s Fight for Freedom (CA/CS) de Stuart Gillard Devine Entertainment Corp., 55 min. – av. Ted Dykstra (Johann Sebastian Bach), Kyle Labine, Rosemary Dunsmore, Ian D. Clark, Kevin Jubinville (prince August), Eric Peterson (duc Wilhelm Ernst), Tanya Posival (Maria Bach). – Bach lutte pour son indépendance artistique. |
1997 | (tv) Bach Cello Suite # 6 : Six Gestures (CA) de Patricia Rozema Rhombus Media, 58 min. – av. Tom McCamus (Johann Sebastian Bach). |
2002 | Bach en Zaraza (VE) de Luis Armando Roche Prod. 800 C.S., 23 min. – av. Daniel Roschpkin (Johann Sebastian Bach), Violeta Alemán, Dimas Gonzáles, Maria Dusmet, Pedro Carrillo. – 1702/03, l’escapade (imaginaire) de Bach adolescent avec une beauté espagnole. |
2002 | *Mein Name ist Bach (Une fugue royale) (CH/DE/GB) de Dominique de Rivaz CAB-Pandora-Twenty Twenty Vision-TSR-Arte-WDR, 110 min. – av. Vadim Glowna (Johann Sebastian Bach), Jürgen Vogel (Frédéric le Grand), Anatole Taubmann (Friedemann Bach), Paul Herwig (Emmanuel Bach), Karoline Herfurth (princesse Amelie), Michel Cassagne (Voltaire), Bernard Liègne, Gilles Tschudi. Les relations houleuses entre le musicien et le roi de Prusse dans une fiction intelligente et sensible. |
2003 | Il était une fois Jean-Sébastien Bach (FR) de Jean-Louis Guillermou JSB Productions, 105 min. – av. (Johann Sebastian Bach), Elena Lenskaya (Anna Magdalena Bach), Frédérique Bel (Maria Barbara Bach), Cédric Vallet (Jean-Christophe Bach), Daniel Duault (le duc de Weimar), Gwenaël Foucher (Bach enfant), Alain Floret (Buxtehude), Raphaëlle Lenoble (Alexandra Buxtehude), Annette Schreiber (Margaretha Bach), Jean Léger (le pasteur d’Arnstadt). |
2004 | (tv) Johann Sebastian Bach – Der liebe Gott der Musik (DE) de Lew Hohmann, Winifred König série « Geschichte Mitteldeutschlands », saison 6, épisode 3, Ottonia Film-Mitteldeutscher Rundfunk (MDR 14.11.04), 45 min. – av. Georg Christoph Biller (Johann Sebastian Bach, 35-65 ans), Gregor Meyer (Bach, 18-30 ans), Philip Rösel (Bach enfant), Inga Lampert (Anna Magdalena Bach), Anna-Clara Carlstedt (Maria Barbara) |
2007 | El silencio antes de Bach / El silenci abans de Bach / Die Stille vor Bach (Le Silence avant Bach) (ES/DE) de Pere Portabella Pere Portabella, Pascual Otal/Films 59, 102 min. – av. Christian Brembeck (Johann Sebastian Bach), Fanny Silvestre (Anna Magdalena Bach), Mariona Solanas (leur fille), Jens Wittwer et Ferran Ruiz (leurs fils), Daniel Ligorio (Felix Mendelssohn). - Une exploration des liens que la musique de Bach peut entretenir avec les images en mouvement, de l'installation de Bach à Leipzig comme cantor en 1723 jusqu'au XXIe siècle. |
2012 | (vd) Que ma joie demeure ! (FR) d’Alexandre Astier, Jean-Christophe Hembert Théâtre de la Croix-Rousse (Lyon), 95 min. – av. Alexandre Astier (Johann Sebastian Bach). Le 15 novembre 1733, Bach est contraint de participer à une journée portes ouvertes à l’église Saint-Thomas pour présenter les rudiments de sa musique au peuple. Captation du one-man-show hilarant mais aussi fort instructif d’Alexandre Astier, une série de sketches relatant la journée du compositeur entrecoupés d’éléments biographiques et de prestations au clavecin et à la viole de gambe. |
2015 | (tv) Written by Mrs. Bach (GB) de Alex McCall et Elrini Vachlioti Mona Bergmann, Marlen Müssiggang, Andreas Fauser/Glasgow Film-Looks (BBC4 20.3.15), 60 min. - av. Melissa Tennant (Anna Magdalena Bach), Heidi Elfriede, David Ferns,Yannik Borzynski, Karen Borzynski, Alexandra May, Lucia Sheppard, Paige Redmond, Antje Peters, Sally Beamish (narration). Enquête: pourquoi les compositions les plus célèbres de Bach ont-elles été écrites après que celui-ci ait rencontré sa seconde épouse, Anna Magdalena Wilcke? Plusieurs partitions sont écrites de sa main à elle. |