XIV - PAVILLON NOIR: ÉPOPÉES MARITIMES DU XVIIe-XVIIIe s.
1. 1. PIRATES, FLIBUSTIERS, BOUCANIERS ET CORSAIRES (personnages historiques)
La pirate Anne Bonney (Jean Peters) se mesure à Barbe-Noire (« Anne of the Indies » de Jacques Tourneur, 1951).
1.4. Autres pirates célèbres: Anne Bonney dit "Anne Providence", Mary Read, John Rackham dit "Calico Jack", Stede Bonnet, Olivier Levasseur, François l'Olonnais
L’Irlandaise ANNE BONN(E)Y (1698-1782) dit Anne Providence, et l’Anglaise MARY READ (1690-1721). Actives sur mer dès 1718, vêtues en homme et maniant le sabre, elles sont capturées par le capitaine Charles Barnet pour le compte du gouverneur de la Jamaïque ; elles évitent la pendaison en prétendant être enceintes. Mary Read meurt en prison cette même année. Anne Bonney est grâciée en 1721 sur intervention de son père, devenu riche, et obtient de se remarier; elle aura huit enfants et mourra soixante et un ans plus tard.
Leur compagnon et capitaine, le pirate JOHN RACKHAM dit « Calico Jack » (1682-1720) est en revanche pendu avec le restant de son équipage de la « Black Pearl » à Spanish Town. Il s'habillait de calicot de coton aux teintes vives, d'où son surnom.
L’Anglais STEDE BONNET (1688-1718), surnommé « The Gentleman Pirate ». Planteur et militaire à la retraite, il entre dans la piraterie pour échapper à une femme acariâtre. Après de premiers pillages au large de la Virginie, de New York et de la Caroline du Sud, il affronte le pirate Barbe-Noire (Blackbeard) qui s’empare de son navire et l’embarque de force. Ayant regagné sa liberté, il s’engage un temps comme corsaire anglais contre l’Espagne, avant de retomber dans la flibuste. Il finit pendu à Charleston.
OLIVIER LEVASSEUR dit La Buse (1688-1730), gentilhomme huguenot qui reprend l’île de la Tortue aux Anglais en 1640, installe son repaire sur l’île Sainte-Marie à proximité de Madagascar et finit pendu à la Réunion.
Jean-David Nau dit FRANÇOIS L’OLONNAIS (1630-1669), parce que né aux Sables-d’Olonne, est un des pirates les plus cruels et sanguinaires de l’histoire de la flibuste. Avec Michel le Basque et huit voiliers, il dévaste Maracaïbo (au Vénézuela) en 1666. Il périt haché, rôti et mangé par des Indiens cannibales au Panama.
Leur compagnon et capitaine, le pirate JOHN RACKHAM dit « Calico Jack » (1682-1720) est en revanche pendu avec le restant de son équipage de la « Black Pearl » à Spanish Town. Il s'habillait de calicot de coton aux teintes vives, d'où son surnom.
L’Anglais STEDE BONNET (1688-1718), surnommé « The Gentleman Pirate ». Planteur et militaire à la retraite, il entre dans la piraterie pour échapper à une femme acariâtre. Après de premiers pillages au large de la Virginie, de New York et de la Caroline du Sud, il affronte le pirate Barbe-Noire (Blackbeard) qui s’empare de son navire et l’embarque de force. Ayant regagné sa liberté, il s’engage un temps comme corsaire anglais contre l’Espagne, avant de retomber dans la flibuste. Il finit pendu à Charleston.
OLIVIER LEVASSEUR dit La Buse (1688-1730), gentilhomme huguenot qui reprend l’île de la Tortue aux Anglais en 1640, installe son repaire sur l’île Sainte-Marie à proximité de Madagascar et finit pendu à la Réunion.
Jean-David Nau dit FRANÇOIS L’OLONNAIS (1630-1669), parce que né aux Sables-d’Olonne, est un des pirates les plus cruels et sanguinaires de l’histoire de la flibuste. Avec Michel le Basque et huit voiliers, il dévaste Maracaïbo (au Vénézuela) en 1666. Il périt haché, rôti et mangé par des Indiens cannibales au Panama.
1924 | ® Captain Blood (Le Capitaine Blood) (US) de David Smith et Albert E. Smith. – av. Boyd Irwin (cpt. Olivier Levasseur), cf. (2.2). |
1935 | ® Captain Blood (Le Capitaine Blood) (US) de Michael Curtiz. – av. Basil Rathbone (cpt. Olivier Levasseur), cf. (2.2). |
1945 | ® The Spanish Main (Pavillon noir) (US) de Frank Borzage. – av. Binnie Barnes (Anne Bonney). – Chez le romantique Borzage, la fameuse femme pirate se laisse tuer pour sauver la vie du boucanier hollandais (Paul Henreid) dont elle fut jadis la maîtresse, cf. (3). |
1950 | ® Double Crossbones (Le joyeux corsaire) (US) de Charles T. Barton. – av. Hope Emerson (Anne Bonney), cf. (3). |
1951 | **Anne of the Indies (La Flibustière des Antilles) (US) de Jacques Tourneur George Jessel/20th Century-Fox, 87 min. – av. Jean Peters (cpt. Providence alias Anne Bonney), Louis Jourdan (Pierre François La Rochelle), Debra Paget (Molly La Rochelle), Thomas Gomez (Blackbeard), Herbert Marshall (Dr. Jameson), James Robertson Justice (Red Dougal). Afin de récupérer son propre navire, Pierre La Rochelle, un marin français, entre au service des Anglais qui le chargent de mettre fin aux activités de la féroce Anne Providence. Quoique marié, il gagne la confiance et le cœur de la belle flibustière que Barbe-Noire, son mentor, a vainement tenté de mettre en garde. Lorsque Pierre est sur le point de livrer Anne aux Anglais, celle-ci subodore le piège, démasque son amant et s’enfuit sur le « Sheba Queen » en enlevant son épouse Molly pour la vendre comme esclave à Maracaibo. Pierre la poursuit, son navire est détruit. Blessée dans son amour, Anne l’abandonne avec Molly sur une île déserte, sans vivres. Le lendemain matin, prise de remords, elle rebrousse chemin, mais Barbe-Noire surgit, déterminé à tuer le traître français. Anne ordonne à ses canonniers d’ouvrir le feu sur le galion du pirate, qui, à son tour, canonne le « Sheba Queen ». Anne coule avec son navire. Avec ce portrait superbe d’une femme froide et violente qui découvre sa féminité et l’amour au prix de sa vie, « Anne of the Indies » joue clairement la carte de l’insolite. Gérant le budget le plus élevé de sa carrière, Jacques Tourneur (« Cat People ») développe une tragédie amoureuse que magnifie un Technicolor flamboyant. Il signe un classique du genre, tourné à Century City avec quelques scènes maritimes non utilisées de « The Black Swan » (1942) de Henry King. La ravissante Jean Peters, alors la compagne discrète de l’excentrique milliardaire Howard Hughes (qu’elle épousera en 1957), y déploie un talent d’escrimeuse peu courant en se mesurant avec humour pétillant et un tempérament de chat sauvage aux pirates les plus aguerris. Sensible et renfermée, elle fera merveille l’année suivante en épouse mexicaine aux côtés de Marlon Brando dans « Viva Zapata » d’Elia Kazan, puis en 1954 en Indienne indomptable dans « Bronco Apache » de Robert Aldrich. Un ancien projet du producteur Walter Wanger pour la star débutante Susan Hayward (1948). En été 1993, Jean-Jacques Annaud en envisagera un remake sous le titre de « Mistress of the Sea », sur un scénario de John Milius (avec Julia Roberts et Mel Gibson). Peu après, Paul Verhoeven reprendra la projet avec Geena Davis et Harrison Ford, mais y renoncera deux ans plus tard. |
1952 | ® Abbott and Costello meet Captain Kidd (US) de Charles Lamont. – av. Hillary Broke (Anne Bonney), cf. (1.2). |
1954 | ® Captain Kidd and the Slave Girl (US) de Lew Landers. – av. Sonia Sorrell (Anne Bonney), Robert Long (John Rackham alias Calico Jack), Noel Cravat (Jean-David Naud dit François l’Olonais), cf. (1.2). |
1956 | (tv) The Buccaneers – 16. Gentleman Jack and the Lady (GB) de Leslie Arliss ; ITC-Sapphire (ITV 29.12.56), 30 min. – av. Robert Shaw (cpt. Dan Tempest), Hazel Court (Anne Bonney), Peter Hammond, Brian Rawlinson, Paul Hansard. – Episode de la série « The Buccaneers », cf. (3). |
1960 | ® Morgan il pirata / Le Capitaine Morgan / Le Roi des boucaniers / US : Morgan the Pirate (IT/FR) de Primo Zeglio, André DeToth. – av. Armand Mestral (Jean-David Nau dit François l’Olonnais), cf. (1.1). |
1960 | *I pirati della costa / Les Pirates de la côte (IT/FR) de Domenico Paolella Fortunato Misiano/Romana-SNC, 99 min. – av. Lex Barker (cpt. Luis de Monterey), Estella Blain (Isabelle), Livio Lorenzon (Jean-David Nau dit François l’Olonnais), Liana Orfei (Anna del Peru), John Kitzmiller (Rock), Enzo Fiermonte. Le gouverneur d’Haïti charge Monterey du transport d’un trésor espagnol qui est capturé par un boucanier français particulièrement cruel nommé l’Olonnais (1630-1669), né à Les Sables-d'Olonne (Vendée). Dégradé et déporté, Monterey se rebelle, devient flibustier sur l’île des Tortues, mais coule l’Olonnais lorsque celui-ci veut s’allier aux Anglais pour attaquer l’Espagne et lui ravir Isabella, une captive dont il s’est épris. En vérité, il semble que l'Olonnais, ennemi mortel des Espagnol et célèbre pour avoir pillé Maracaïbo (Vénézuela) aurait été capturé puis haché, rôti et dévoré par des Indiens cannibales. Une réussite mineure de Paolella dans un genre qu’il affectionne, filmé en Eastmancolor et Totalscope aux ateliers Titanus à Rome et aux studios flottants du lac de Garde (Peschiera del Garde de la Bertolazzi-Film), au château de Ronciglione (Latium), à Fiorellino et à Pacengo (prov. de Vérone). |
1961 | Le avventure di Mary Read (Mary la Rousse, femme pirate) (IT) d’Umberto Lenzi Fortunato Misiano/Romana Film, 89 min. – av. Lisa Gastoni (Mary Read, compagne d’Anne Bonney), Jerome Courtland (Lord Peter Goodwin), Germano Longo (Ivan), Walter Barnes (cpt. Poof), Agostino Salvietti (Mangiatrippa), Loris Gizzi (directeur de prison), Gianni Solaro (gouverneur de Floride), Eleonora Morana (Elisabeth). Une voleuse anglaise, spécialisée dans les bijoux de l’aristocratie, est séduite en prison à Londres par un confrère, Peter. Elle s’évade et se fait engager comme mousse sur le navire pirate du capitaine Poof. A la mort de ce dernier, elle lui succède et écume les mers jusqu’au jour où un vaisseau de l’amirauté britannique la défie, commandé par Lord Peter Goodwin en qui elle reconnaît son amant de jadis. Elle lui tend un piège et le ridiculise, il la retrouve à San Salvador et l’humilie, il s’affrontent en duel. Peter l’emporte et l’épouse : Lady Mary devient une dame de la haute société. – Une version hautement fantaisiste de la carrière de Mary Read. rehaussée par la présence sexy de Lisa Gastoni, qui se déguise en homme pour pour séduire une vieille femme riche. Premier – et oubliable – film d’Umberto Lenzi (qui s’illustrera par la suite surtout dans le péplum): Lenzi remplace Domenico Paolella dont il avait été l'assistant sur "Il terrore dei mari". Une production tournée en Scope et Eastmancolor aux studios IN.CI.R.-De Paolis à Rome et sur les vaguelettes du lac de Garde (Bertolazzi Film Studio à Peschiera del Garda), à Ronciglione (Latium), Fiorellino et Pacengo (prov. de Vérone). |
1961 | L’ammutinamento / I ribelli della Tortuga / La Mutinerie / Les Révoltées de l’Albatros (IT/FR) de Silvio Amadio Inter-Illiria-Gladiator-Champs Élysées Prod., 98 min. – av. Edmund Purdom (Dr. Robert Bradley), Pier Angeli [=Anna Maria Pierangeli] (Polly), Armand Mestral (le pirate John Rackham, dit Calico Jack), Ivan Desny (cpt. Cooper), Michèle Girardon (Anna Mitford), Franca Parisi (Lady Graveston), Mirko Ellis (Lord Graveston). En 1675, un navire anglais parti de Newgate à destination du Nouveau-Monde transporte des prisonniers politiques et des femmes de « mauvaise vie » qui seront vendus comme esclaves. Lors d’une mutinerie, le capitaine est destitué et un médecin prisonnier prend le commandement. Calico Jack s’empare du navire et se dirige vers l’île de Tortuga, mais une frégate anglaise le coule. Tourné en Totalscope et Eastmancolor. |
1961 | Il segreto dello Sparviero Nero (Le Secret de l'Épervier Noir) (IT) de Domenico Paolella Fortunato Misiano/Romana Film, 92 min. - av. Lex Barker (Don Carlos de Herrera), Livio Lorenzon (cpt. Rodriguez), Walter Barnes (cpt John Rackham, dit "Calico Jack"), Nadia Marlova (Leonora), Germano Longo (Patte-de-Chat), Pina Cornel (Yvette), Loris Gizzi (Don Pedro Ordigoza), Dina De Santis (Ines), Tullio Antamura (Don Juan), Gino Buzzanca (le gouverneur de Melida), Ignazio Balsamo (Sancho), Giuseppe Chinnici (le Premier Ministre). Anglais et Espagnols s'affrontent sur mer pour le monopole du commerce en Amérique centrale. Un document secret les concernant est tombé dans les mains du redoutable pirate John Rackham, dit "Calico Jack". Les Anglais paient un aventurier réputé, l'Épervier Noir alias le capitaine Rodriguez, pour le récupérer, tandis que les Espagnols envoient leur meilleur officier, Don Carlos de Herrera. Les deux se font engager incognito à bord du vaisseau de Rackham, affrontent ensemble les périls de la mer et deviennent amis. Rackham s'empare d'un galion à bord duquel se trouve Leonora, la fiancée de Don Carlos. Celui-ci propose de la rançonner et en profite pour alerter la flotte espagnole. Tandis que Leonora détruit les documents convoités, Rodriguez tue Rackham et, confronté à la voracité des Anglais comme des Espagnols, il finit par se sacrifier pour son ami Don Carlos. Une bande d'aventures imaginée par Domenico Paolella et Sergio Sollima, produite par Misiano (déjà responsable de "Il terrore dei mari" et "I pirati della costa" de Paolella, 1960-61). Tournage en Eastmancolor et Totalscope en avril-mai 1961 à Tor Caldara, dans les studios flottants du lac de Garde (Peschiera del Garda), sur les terrains de la Romana à Ronciglione, à Anzio et aux studios IN.CI.R.-De Paolis à Rome. |
1962 | **Hero’s Island / The Land We Love (US) de Leslie Stevens Daystar Prod.-Portland Prod. (James Mason)-United Artists, 94 min. – av. James Mason (Jacob Weber alias cpt. Stede Bonnet), Kate Manx (Devon Mainwaring), Neville Brand (Kingstree), Warren Oates (Wayte Giddens), Rip Torn (Nicholas Gates), Harry Dean Stanton (Dixey Gates), Brendan Dillon (Thomas Mainwaring), Robert Sampson (Enoch Gates), Morgan Mason (Cullen Mainwaring), Darby Hinton (Jafar Mainwaring). Sur Bull Island, au large de la Caroline en 1718, les Mainwaring, une famille pacifique avec deux enfants (des serfs à qui l’on a donné l’île le jour de leur libération), hostile à toute violence, est attaquée par des pécheurs locaux que dirigent les frères Gates et le négrier Kingstree ; Thomas Manwaring est assassiné, mais sa veuve Devon résiste. Un naufragé, ancien compagnon de Barbe-Noire, le capitaine pirate Stede Bonnet, prend leur défense et tue la majorité des agresseurs. Un film d’une grande originalité, écrit et réalisé dans un style très épuré par Stevens, tourné à Catalina Island (Calif.) et coproduit par l’acteur James Mason, qui donne aussi un petit rôle à son fils Morgan. Le grand Ted McCord (« East of Eden » d’Elia Kazan) signe une magnifique photo en Panavision et Technicolor. Avec cette « exploration adulte de l’Amérique des pionniers » (Stevens), ethnologiquement et historiquement rigoureuse, Devon (jouée par l’épouse du cinéaste), prisonnière de ses a priori religieux et confrontée au « diable » (le pirate), découvre peu à peu la tolérance. Un désastre au box-office américain, aujourd’hui un film-culte. |
1966 | ® (tv+ciné) Les Corsaires / Corsaires et flibustiers / cinéma : Les Corsaires – 1. L’Olonais – 2. Le Trésor du Hollandais (FR/IT) de Claude Barma. – av. Guy Delorme (Jean-David Nau dit François l’Olonnais), Geneviève Page (Mary Brown, veuve du pirate John Brown), cf. (3). |
1976 | ® Il corsaro nero (Le Corsaire noir) (IT) de Sergio Sollima. – av. Eddy Fay [=Edoardo Faieta] (Jean-David Nau dit François l’Olonnais), cf. (2.3). |
1986 | (tv) The Pyrates (US) d’Andrew Gosling Ian Keill/Canamedia Productions (BBC2 28.12.86), 85 min. – av. Marcus Gilbert (cpt. Benjamin Avery), Jane Snowden (Lady Vanity), Wanda Ventham (Anne Bonney), Tom Adams (Calico Jack alias John Rackham), Josette Simon (Sheba), Malcolm Stoddard (colonel Blood), John Rapley (Samuel Pepys). Pages extraites du journal du capitaine Benjamin Avery, de la Royal Navy. Adaptation du livre éponyme par son auteur, George Macdonald Fraser (1983). Le héros de ce roman hautement parodique parcourt toutes les mers, à la recherche des six pirates qui l’ont dépossédé de la couronne qu’il était censé livrer au roi de Madagascar. |
1991 | ® (tv+ciné) Odisseya Kapitana Blada / L’Odyssée du capitaine Blood (SU/FR) d’Andrei Prachenko. – av. Leonid Yarmolnik (cpt. Olivier Levasseur), cf. (2.2). |
1998 | (tv) Pirates : Raiders of the Spanish Maine (GB) de Henry Chancellor Windfall Films-Discovery Channel, 104 min. – av. Lorna Bennett (Anne Bonney), Rachel Ferjani (Mary Reid), Gabriel Byrne (narration), Chris Jarman, Jonathan Leveck. |
2006 | ® Pirates of Treasure Island (US) de Leigh Scott. – av. Rebekah Kochan (Anne Bonney). – cf. R. L. Stevenson (« L’Île au trésor ») (2.1). |
2006 | *(tv) True Caribbean Pirates (US) de Tim Prokop GRB Entertainment-History Channel, 120 min. – av. Kimberly Adair (Mary Read), Michelle Michaels (Anne Bonney), David Joseph Boyd (Calico Jack alias John Rackham), Marc Carrel (gouv. Spotswood), Andrew Block (Stede Bonnet), Richard Druitt (Charles II), Lance J. Holt (cpt. Henry Morgan), Patrick Lander (Blackbeard), Matthew Rimmer (Charles Vane), Scott Silbor (Black Bart Roberts), Rich Skidmore (Israel Hands), Brian Tester (Gouv. Charles Eden). – L’histoire de la piraterie, une bonne fiction didactique filmée en Californie (Dana Point, Marina Del Rey) et à Puerto Rico (San Juan). |
2007 | (tv) Pirates of the Carolinas (US) de Bruce Y. Mayer série « Carolina Stories », South Carolina ETV (ETV 22.11.07), 60 min. – av. Liisa Rose (Anne Bonney), Joe Perry (Calico Jack alias John Rackham), Buzz Cornell, Stanley Brewer, Wendell Prescott (Gouv. Eden), Joseph Safford, Jim F. Wade, Bruce Y. Mayer. – Docu-fiction. |
2012/13 | ® (tv) Korol Madagaskara [Le Roi de Madagascar] (RU) d’Oleg Ryaskov. – av. Stepan Blankafoks (cpt. Olivier Levasseur, 1688-1730), Sati Casanova (sa compagne), cf. Russie (4). |
2013/14 | ® (tv) Black Sails (Black Sails) (US/ZA) de Neil Marshall, Sam Miller, T. J. Scott, Marc Munden, Steve Boyum (Starz 25.1.14), 8 x 56 min. - av. Toby Schmitz (John Rackham), Clara Paget (Anne Bonney). - cf. infra, films de piraterie divers. |