Ib - LA FRANCE APRÈS 1815
9. ARTISTES, SAVANTS ET PERSONNALITÉS DIVERSES
9.4. Spectacles
JEAN-BAPTISTE-GASPARD DEBURAU (1796-1846), mime aux "Funambules"
et son contemporain FRÉDÉRICK LEMAÎTRE (1800-1876), comédien
et son contemporain FRÉDÉRICK LEMAÎTRE (1800-1876), comédien
1924 | ® The Lover of Camille (US) de Harry Beaumont. – av. Monte Blue (Jean-Gaspard Deburau), Pat Moore / Pierre Gendron (Charles Deburau à 10/17 ans), Rose Dione (Mme Deburau). – La pièce « Deburau » de Sacha Guitry, cf. infra, « La Dame aux Camelias ». |
1938 | ® Tanz auf dem Vulkan / Genie und Leidenschaft (DE) de Hans Steinhoff. – av. Gustaf Gründgens (Jean-Gaspard Deburau, dit Baptiste). – Costumé en Pierrot (mais sans pantomime) et hautement politisé, le Deburau allemand de Gründgens nargue la monarchie française, cf. règne de Charles X (2). |
1943-45 | ***Les Enfants du Paradis – 1. Le Boulevard du crime – 2. L’Homme blanc (FR) de Marcel Carné ; [André Paulvé/Discina]-S. N. Pathé-Cinéma, 185 min. – av. Jean-Louis Barrault (Jean-Gaspard Deburau, dit Baptiste), Arletty (Garance), Pierre Brasseur (Frédérick Lemaître), Marcel Herrand (Pierre-François Lacenaire), Maria Casarès (Nathalie Deburau), Etienne Decroux (Anselme Deburau), Albert Rémy (Scarpia Barrigni), Louis Salou (le comte Edouard de Montray), Gaston Modot (Fil de soie), Jane Marken (Mme Hermine), Pierre Renoir (Jericho). – Le film débute en 1827 (sous Charles X), mais se déroule surtout au temps de Louis-Philippe, relatant la percée sur scène du « Baptiste » de Deburau et du tragédien Lemaître (avec « Othello »), les brigandages de Lacenaire (le mime, l’acteur et l’assassin), les foules bigarrées et pittoresques du « Boulevard du Crime » et de ses théâtres réunis dans un classique légendaire, admirablement écrit (Jacques Prévert) et mis en scène. Le croisement de divers destins dans un Paris totalement recrée, mythifié, irréaliste, un drame romantique étincelant et pessimiste. Le film rend hommage au théâtre et est dédié au peuple modeste qui va se percher tout en haut, aux places les moins chères, dans le poulailler, le "paradis". Le sujet principal est l'amour, plus précisément l'amour contrarié. Garance (Arletty) est une foraine qui aime tout le monde, qui adore la liberté. Elle catalyse l'amour protéiforme de quatre protagonistes. Celui de Baptiste Debureau est ardent, passionné, silencieux et rêveur. L'amour de Frédéric Lemaître est sensuel, pragmatique et fait de belles paroles. Celui du dandy amoral Lacenaire est plus cérébral. Quant à l'amour du riche comte Edouard de Montray, il est corrompu et vénal. Un seul est vrai et réciproche, celui de Garance et de Baptiste, dont Nathalie Debureau est follement amoureuse et qui finira par l'épouser. Chargé du fatalisme des années de l’Occupation. Réalisé aux Studios Riviera à la Victorine à Nice (les fabuleux décors en plein air du Boulevard du Crime conçus par Léon Barsacq, Raymond Gabutti et Alexandre Trauner), aux studios Pathé de la rue Francœur à Paris (le théâtre des Funambules) et aux studios Pathé-Natan de Joinville. Commencé en août 1943 par le producteur André Paulvé (Films Discina) en coproduction avec la Scalera Film française, interrompu lors de la chute de Mussolini, repris par Pathé-Cinéma (l’acteur antisémite Robert Le Vigan, en fuite, est remplacé par Pierre Renoir) et enfin terminé en mars 1944, le film ne sortira qu’une année plus tard, en mars 1945, faute de salles et de laboratoire. En réalité, c'est un prétexte: la sortie est volontairement retardée jusqu'à la Libération afin d'être proposée au public dans une France libérée qui le recevra avec ferveur. Il fera trente-huit semaines d’exclusivité à Paris, du 22 mars au 20 décembre. Élu meilleur film du premier siècle du cinéma. |
1951 | *Deburau (FR) de Sacha Guitry ; CICC, 93 min. – av. Sacha Guitry (Jean-Gaspard Deburau), Michel François (Charles Deburau, son fils), Lana Marconi (Marie Duplessis), Robert Seller (M. Bertrand), Jean Danet (Amand Duval). – La pièce de Sacha Guitry (1918) portée au cinéma par l’auteur, où l’on retrouve les Funambules de Paris 1839-1846 : Deburau, tout sauf un mime muet (on est chez Guitry!), prend pour maîtresse Marie Duplessis (la « dame aux camélias »), qui l’abandonnera pour Armand Duval. Le dernier film dans lequel Guitry tient la vedette: sous les broderies du divertissement, il parle gravement de l'amour, de la gloire, de l'art du théâtre et du métier d'acteur. Un régal. |
1982 | (tv) Deburau (FR) de Jean Prat (TF1 5.3.82). – av. Robert Hirsch (Jean-Gaspard Deburau), Jean-Philippe Puymartin, Christines Deschaumes (Marie Duplessis), Louis Amiet, Jean-Claude Aube. |
FRANCOIS-JOSEPH TALMA (1763-1826), comédien
RACHEL FELIX (1821-1858), tragédienne
HORTENSE SCHNEIDER (1833-1920), actrice et chanteuse
JEAN-EUGÉNE ROBERT HOUDIN (1805-1871), illusioniste
GEORGES MÉLIÈS (1861-1938), illusioniste et cinéaste
ALICE GUY (1873-1968), cinéaste
CHARLES ZIDLER (1832-1897), impresario, fondateur du « Moulin Rouge », de l’hippodrome et des Jardins de Paris
RAFAEL PADILLA dit CHOCOLAT (v. 1865-1917), clown
AUGUSTE (1862-1954) ET LOUIS LUMIÈRE (1864-1948), inventeurs du cinématographe
LOÏE FULLER [Marie-Louise Fuller] (1869-1928), danseuse
RACHEL FELIX (1821-1858), tragédienne
HORTENSE SCHNEIDER (1833-1920), actrice et chanteuse
JEAN-EUGÉNE ROBERT HOUDIN (1805-1871), illusioniste
GEORGES MÉLIÈS (1861-1938), illusioniste et cinéaste
ALICE GUY (1873-1968), cinéaste
CHARLES ZIDLER (1832-1897), impresario, fondateur du « Moulin Rouge », de l’hippodrome et des Jardins de Paris
RAFAEL PADILLA dit CHOCOLAT (v. 1865-1917), clown
AUGUSTE (1862-1954) ET LOUIS LUMIÈRE (1864-1948), inventeurs du cinématographe
LOÏE FULLER [Marie-Louise Fuller] (1869-1928), danseuse
1920 | ® Madame Récamier. Des grossen Talma letzte Liebe (DE) de Joseph Delmont. – av. Albert Steinrück (Talma), cf. Napoléon. |
1927 | ® Napoléon (FR) Abel Gance. – av. Roger Blum (Talma). |
1928 | The Loves of an Actress (Amours d’actrice) (US) de Rowland V. Lee ; Paramount, 8 bob./7434 ft. – av. Pola Negri (la tragédienne Elisabeth Rachel Félix, dit Rachel, 1821-1858), Nils Asther, Paul Lukas, Richard Tucker, Philip Strange. |
1948 | ® D’Homme à hommes (FR/CH) de Christian-Jaque. – av. Aline André (Hortense Schneider). |
1949 | ® La Valse de Paris (FR) de Marcel Achard. – av. Yvonne Printemps (Hortense Schneider), cf. Jacques Offenbach. |
1952 | Le Grand Méliès (FR) de Georges Franju ; Armor-Films, 30 min. – av. André Méliès (Georges Méliès), Marie-Georges Méliès. |
1954 | ® Moulin Rouge (GB) de John Huston. – av. Harold Kasket (Charles Zidler), Rupert John (le clown Chocolat). |
1955 | ® French Cancan (FR) de Jean Renoir. – av. Jean Gabin (Henri Danglard [=Charles Zidler]). |
1961 | ® Les Comédiennes, épisode de Amours célèbres / Amori celebri (FR/IT) de Michel Boisrond ; GEF-Unidex-Cosmos, 130 min. – av. Edwige Feuillère (Mlle Raucourt), Pierre Dux (François-Joseph Talma), Jean Desailly (La Jonchère), Daniel Ceccaldi, Annie Girardot (Mlle Duchesnois), Marie Laforêt (Mlle George, maîtresse de Napoléon). – Paris 1804 : intrigues à la Comédie Française. |
1964 | ® (tv) Une journée de l’Empereur (FR) de Jean Pignol. – av. Denis Julien (Talma), cf. Napoléon, |
1964 | (tv) Hortense Schneider (FR) de Henri Spade (1e Ch. RTF 2.1.64), 110 min. – av. Dominique Rika / Dora Doll (Hortense Schneider), Georges Descrières (Gramont), Raymond Jourdan (André Meilhac), Paul Riger (Ludovic Halévy), François Maistre (duc de Morny), Jean-Jacques Nadaud (Napoléon III), Régis Oudot (Baron Hausmann). – Les souvenirs de l’interprète préférée de Jacques Offenbach, victime des organisateurs de spectacles. |
1964 | (tv) Méliès, le magicien de Montreuil-sous-Bois (FR) de Jean-Christophe Averty (1e Ch. ORTF 3.10.64), 120 min. – av. Jean-Marc Thibault (Georges Méliès), Raymond Bussières (Calmels), Janine Darcey (Mme Méliès), Lucien Barjon (Louis Méliès), André Valmy (Gaston Méliès), Jane Helly (Mme Robert Houdin), Raymond Pélissier (Antoine Lumière), Florence Brière (Jeanne d’Arcy). |
1966 | (tv) Monsieur Robert Houdin (FR) de Robert Valey (1e Ch. ORTF 26.12.66). – av. Marcel Cuvelier (l’illusionniste Robert Houdin), Jacques Charby, Michel Seldow, Michel Tureau (Houdin jeune), Francis Lax, Philippe Dumat, André Valtier, Danièle Argence (Mme Houdin), Louis Arbessier (Louis-Philippe), Frédéric Valey (Robert Houdin fils). – Blois vers 1865, un voyage à l’intérieur de la maison du célèbre illusionniste où se terre un fuyard traqué par la police de Napoléon III. |
1977 | ® (tv) Les Folies d’Offenbach (FR) de Michel Boisrond. – av. Catherine Samié (Hortense Schneider). |
1983 | (tv) Elle voulait faire du cinéma (FR) de Caroline Huppert (A2 9.3.83), 90 min. – av. Christine Pascal (Alice Guy), André Dussolier (Léon Gaumont), Rosy Varte (Mme Guy), Roland Blanche (Georges Demeny), Robin Renucci (Ferdinand Zecca), Hubert Saint-Macary (Louis Feuillade), Philippe Lemaire (Gustave Eiffel), Brigitte Rouan (Mme Gaumont). – Alice Guy (1873-1968), première cinéaste, tourne « La Fée aux choux » en 1896 pour la Gaumont. |
1996 | (tv) Alice Guy Blaché (DE) de Katja Ragnelli ; Diorama Film-ZDF (Arte 20.2.97), 60 min. – av. Eva Mates (Alice Guy), Angela Huber (Alice Guy jeune femme), Daniele Legler (Léon Gaumont), Simone Blaché, Bessie Love, Daniela Klein, Stefan Krügl. |
1997 | ® Les Palmes de M. Schutz (FR) de Claude Pinoteau. - av. Suzanne Andrews (la danseuse Loïe Fuller), Joseph Reswin (son imprésario). |
2001 | ® Moulin Rouge (US) de Baz Luhrmann. – av. Jim Broadbent (Charles Zidler). |
2011 | ® (tv) Mystère au Moulin Rouge (FR) de Stephane Kappes. – av. Dominique Besnehard (Charles Zidler). |
2016 | *Chocolat (FR) de Roschdy Zem Mandarin Cinéma-Gaumont-M6 Films, 110 min. - av. Omar Sy (Rafael Padilla, dit "Kananga", puis "Chocolat"), James Thierrée (George Foottit), Clotilde Hesme (Marie Hecquet, l'infirmière), Alice de Lencquensaing (Camille), Noémie Lvovsky (Mme Delvaux), Frédéric Pierrot (Monsieur Delvaux), Olivier Gourmet (Joseph Oller), Olivier Rabourdin (Firmin Gémier), Denis et Bruno Podalydès (Auguste et Louis Lumière), Héléna Soubeyrand (Regina Badet). L'histoire du premier artiste noir de la scène française, le clown Chocolat alias Rafael Padilla (v. 1865-1917), qui devient célèbre en tandem avec le clown blanc britannique George Foottit ("Foottit et Chocolat"). Roschdy Zem montre sa percée et son triomphe au Nouveau Cirque de Joseph Oller à Paris, jusqu'au jour où, offusqué par les coups de pieds, les baffes et les humiliations subies sur scène, il ne supporte plus l'imagerie raciste qui fait hurler de rire les foules parisiennes. Il s'oppose progressivement à la domination du clown blanc, se passionne pour Shakespeare (le rôle d'Othello pour Firmin Gémier). Chocolat et Foottit se séparent, mais aucun des deux ne parvient à s'imposer en solo. Adonné au jeu et aux femmes, Chocolat s'éteint dans la misère, soigné par Marie. - Zem prend de nombreuses libertés par rapport à l'histoire de Rafael Padilla, qui n'a pas débuté au cirque Delvaux (mais à Bilbao en solo en 1886), n'a jamais fait de prison, ne connaît pas l'échec sur scène avec "Othello" mais dans une pochade au Théâtre Antoine; il ne meurt pas comme simple balayeur dans un cirque mais comme clown dans la troupe du cirque Rancy de Bordeaux. Néanmoins, une interprétation remarquable (révélation: James Thierrée, le petit-fils de Charles Chaplin), une narration soutenue et une reconstitution très convaincante de la Belle-Epoque. Grand succès public, cinq nominations aux Césars (prix décerné pour Thierrée et les décors). |
2016 | *La Danseuse (FR/BE/CZ) de Stéphanie Di Giusto Productions du Trésor-Films du Fleuve-Sirena Film-RTBF-Orange Studio-Wild Bunch, 108 min. - av. Soko [Stéphanie Sokolinski] (Marie-Louise "Loïe" Fuller), Gaspard Ulliel (comte Louis d'Orsay), Mélanie Thierry (Gabrielle Bloch), Lily-Rose Depp (Isadora Duncan), François Damiens (Edouard Marchand), Amanda Plummer (Lili Fuller), Louis-Do de Lencquesaing (Armand Duponchel), Denis Ménochet (Ruben Fuller). Américaine qui a révolutionné la danse moderne (elle danse avec de longs voiles de soie tout en s'aidant d'installations lumineuses), Loïe Fuller perce et triomphe à vingt-cinq ans aux Folies-Bergères à Paris; ses créations sidérantes, ses amours sapphiques ici à peine effleurées (son assistante Gabrielle Bloch, sa disciple Isadora Duncan), sa liaison inventée de toutes pièces avec Louis d'Orsay. Un spectacle éblouissant, mais un manque de crescendo dramatique. Sélectionné à "Un certain regard" (Festival de Cannes). |
2010 | ® Radioactive (GB/HU) de Marjane Satrapi. - av. Drew Jacoby (Marie-Louise "Loïe" Fuller). |
1938 | ® Trois valses (FR) de Ludwig Berger. – av. Colette Régis (Sarah Bernhardt). |
1953 | (tv) Proudly I Love (US) de Norman Felton ; « The Hallmark Hall of Fame » (NBC 24.5.53). – av. Sarah Churchill (Sarah Bernhardt), William Prince, Nicholas Joy, Kathleen Comegys, Zolya Talma, Ludie Claire, Humphrey Davis, Lynn Loring, Rene Paul. – La comédienne reconce à l’amour pour sa carrière. |
1955 | ® Si Paris nous était conté (FR) de Sacha Guitry. – av. Jeanne Boitel (Sarah Bernhardt). |
1955 | [(tv) The Final Performance of Sarah Bernhardt, November 30, 1922 (US) série « You Are There » no. 98 (CBS 8.5.55), 30 min. – av. Jeanette Nolan (Sarah Bernhardt), Peter Brocco, John E. Wengraf, Maurice Marsac, Nan Boardman.] |
1958 | (tv) Recipe for Success (US) de George Waggner ; série « Telephone Time », Hal Roach Studios (ABC 11.2.58), 30 min. – Edith Barrett (Sarah Bernhardt), Walter Slezak (Henri Charpentier), Sebastian Cabot (le Prince de Galles), Ted Marcuse (John P. William). |
1964 | ® (tv) The Paper Dynasty (US) de Christian Nyby; série "Death Valley Days (Les Aventuriers du Far West)" (Syndication 1.3.64), 25 min. - av. Michele Montau (Sarah Bernhardt), James Hampton (W. R. Hearst). |
1969 | ® (tv) Sangue do meu Sangue (BR) de Sérgio Britto. – av. Nathália Timberg (Sarah Bernhardt). |
1970 | ® End of the Road (US) d’Aram Avakian. – av. Ellen Faison (Sarah Bernhardt). |
1976 | The Incredible Sarah (Incroyable Sarah) (GB/US) de Richard Fleischer ; Readers Digest, 106 min. – av. Glenda Jackson (Sarah Bernhardt), Daniel Massey (Victorien Sardou), David Langton (duc de Morny), Simon Williams (prince Henri), Yvonne Mitchell, Douglas Wilmer. – La percée triomphale à Paris en 1863. |
1976 | (tv) Sarah (CA) de Waris Hussein ; Canadian Broadcasting Corporation (feuilleton). – av. Zoe Caldwell (Sarah Bernhardt), Edward Atienza (Perrin), Donald Davis (Edward Jarrett), Dawn Greenhalgh, Thomas Hauff, Jean LeClerc (Jacques Damala). |
1978 | ® (tv) Lillie (GB) de John Gorrie etc. – av. Cheryl Campbell (Sarah Bernhardt), cf. Lillie Langtry. |
1981 | (tv) De Memoires van Sarah Bernhardt (BE) de Jos van Gorp, Luc Segers (RTB 1.11.81). – av. Yvonne Lex (Sarah Bernhardt), Frans Maas (Georges Pitou). |
1985 | (tv) Sarah et le cri de la langouste (FR) de Marcel Bluwal (tv), Georges Wilson (th) (FR3 23.12.85). – av. Delphine Seyrig (Sarah Bernhardt), Georges Wilson. |
1989 | ® (tv) Around the World in 80 Days (GB/US) de Buzz Kulik. – av. Lee Remick (Sarah Bernhardt). |
1992 | ® Hors saison / Zwischensaison (CH) de Daniel Schmid. – av. Marisa Paredès (Sarah Bernhardt). |
1999 | ® (tv) Xangô de Baker Street (BR/PT) de Miguel Faria jr. – av. Maria de Medeiros (Sarah Bernhardt). |
2000 | (tv) Of Penguin and Peacocks (US) de Jo Ann Tedesco ; Ginevra Films, 88 min. – av. Liliane Montevecchi (Sarah Bernhardt), Emelise Aleandri (Eleonora Duse), Claudio Sapone (Gabriele D’Annunzio), Joseph Culliton (Konstantin Stanislavski), David De Beck (Anton Tchekhov), Lou Sumrall (George Bernard Shaw). |
2000 | [Amélia (BR) d’Ana Carolina ; Crystal Cinematográfica. – av. Béatrice Agenin (Sarah Bernhardt), Miriam Muniz, Camila Amado, Alice Borges, Betty Goffman. – Episode de la tournée de la comédienne au Brésil en 1905.] |
2004 | Sarah Bernhardt (ES) de José Pascual. – av. Charo López (Sarah Bernhardt), Emilio Gutiérrez Caba. |
2005 | [Sarah Bernhardt : une étoile en plein jour (FR) de Laurent Jaoui (FR2 6.5.08), 105 min. – av. Ludmila Mikaël (Sarah Bernhardt), Julie Debazac (Justine), Samuel Cahu (Jean-René Leguen), Vincent Martin (père Leguen), Catherine Salviat (Cousette). – La tragédienne à Belle-Ile-en-Mer en juin 1914.] |
2019 | ® Edmond (FR) d'Alexis Michalik. - av. Clémentine Célarié (Sarah Bernhardt). - cf. Edmond Rostand (lettres) |
1910 | Une aventure de la Malibran (FR/IT) Film d’Arte Italiana-Pathé, 195 m. |
1943 | *La Malibran (FR) de Sacha Guitry ; Sirius, 95 min. – av. Geori Boué (Maria Félicia Malibran), Sacha Guitry (Eugène Malibran), Jean Weber (roi de Naples), Jacques Varennes (La Fayette), Jean Cocteau (Alfred de Musset), Jacques Castelot (Lamartine), Jean Chaduc (Victor Hugo), Henry Houry (Rossini). |
1942 | Maria Malibran (IT) de Guido Brignone ; ACI-Itala Film, 93 min. – av. Maria Cebotari (Maria Malibran), Rossano Brazzi (De Beriot), Renato Cialente (comte Eugène Malibran), Loris Gizzi (Gioacchino Rossini), Roberto Bruni (Vincenzo Bellini). |
1951 | La canción de Malibrán (ES) de Luis Escobar ; Sagitario, 90 min. – av. Maria de los Angeles Morales (Maria Malibran), Carlos Agosti (Carlos de Beriot), Luis Hurtado (Eugène Malibran), Julia Caba Alba, Juan Vazquez. |
1985 | (tv) La Malibran (FR) de Pierre Sabbagh (TF1 17.8.85). – av. Sylvie Voyze-Valayre (Maria Malibran), Philippe Etesse (Charles de Beriot), Virginie Pradal, Gérard Cailland, Yolande Folliot. |
1971 | Der Tod der Maria Malibran (La mort de Maria Malibran) (DE) de Werner Schroeter ; Schroeter-ZDF, 104 min. – av. Magdalena Montezuma (Maria Malibran), Christine Kaufmann, Ingrid Caven, Candy Darling, Manuela Riva. – La cantatrice décède à Manchester des suites d’une chute de cheval. |
1973 | ® (tv) Lucien Leuwen (FR) de Claude Autant-Lara. – av. Mady Mesplès (Maria Malibran). |
1987 | ® (tv) Casa Ricordi (IT) de Mauro Bolognini. – av. Anna Kanakis (Maria Malibran). |